Alors que l'émotion est encore vive à Morillon, la justice, elle, poursuit son travail.
Hier, l’autopsie du corps des deux pisteurs a été réalisée et a permis d’établir que les deux hommes se trouvaient côte à côte et qu’ils n’étaient pas suffisamment loin de la charge explosive quand celle-ci s’est déclenchée.
Soit elle n’était pas encore correctement placée, soit ils ont voulu la récupérer après un dysfonctionnement. L’expertise technique du matériel utilisé en revanche, ne sera pas réalisée avant une quinzaine de jours.