Comment mieux prendre en charge les victimes de violences ?

A la gendarmerie de Bonneville/Scionzier, une intervenante sociale assure une permanence toute la semaine, du lundi au vendredi.

Ophélie Assezat accueille les victimes, répond aux questions qu’elles se posent, et les accompagne dans leurs démarches en tout genre.

Elle qui n’est pas militaire – contrairement aux gendarmes qui l’entourent, doit être polyvalente pour assurer le meilleur suivi des victimes.

Elle est formée à la fois sur le plan juridique, mais aussi social et suivi une formation pour recueillir les témoignages.


ITA Ophélie Assezat 2 – Violences conjugales gendarmerie (35’’)


Ophélie Assezat est présente dans les gendarmeries de Bonneville et Scionzier, mais peut être appelée dans toutes les brigades de la vallée de l’Arve, de Chamonix à La Roche.

Sa présence immédiate permet une meilleure prise en charge des victimes.

Yannick Ferrin est le commandant de compagnie de la gendarmerie de Bonneville.

Pour lui et ses collègues, la présence de l’ISG est un vrai plus.


ITA Yannick Ferrin 3 – Violences conjugales gendarmerie (28’’)


La présence de cette ISG est un outil de plus à disposition des gendarmes de Haute-Savoie pour améliorer la prise en charge des victimes, comme l'explique Yannick Ferrin.

Il revient notamment sur la création, fin 2021, d'une maison de protection de familles à Annemasse, la première de ce genre dans le département.


ITA Yannick Ferrin 4 – Violences conjugales gendarmerie (31’’)


Preuve que ces violences intra-familiales mobilise tous les acteurs : les hôpitaux du Mont-Blanc viennent de se doter d’une Unité référent violences pour accompagner, là aussi, les victimes.