Le nombre de cas est beaucoup moins important que cet été, mais la série de mutilation de chevaux n’est toujours pas terminée.
Ce mois-ci encore, une exploitation du nord de la Haute-Savoie a été touchée : une jument a été retrouvée morte près d’Evian.
Mais si le ou les coupables n’ont pas été retrouvés, plusieurs choses ont été mises en place, localement et au niveau national, pour prévenir ces attaques.
Un numéro Vert a été mis en place par le gouvernement et les gendarmeries font des rondes près des exploitations.
Camille Navillod gère le centre équestre La Chevallée, aux Carroz.
ITA Camille Navillod 4 – Centre équestre mutilation (32’’) Camille Navillod a aussi intégré un groupe WhatsApp qui regroupe les propriétaires de chevaux des Carroz et la police municipale. Il leur permet de faire des signalements.
Mais pour l'instant, la gérante du centre refuse de céder à la panique. Elle continue de rendre visite quotidiennement à ses 15 chevaux mis au pré.
ITA Camille Navillod 1 – Centre équestre mutilation (33’’)En revanche, pour cet hiver, elle envisage d’investir dans des capteurs photographiques.
ITA Camille Navillod 2 – Centre équestre mutilation (28’’)La Région Auvergne-Rhône-Alpes s’est engagé à financer l’achat de caméras de surveillance pour les exploitations qui le souhaiteraient.