C’est ce qu’a affirmé hier
Etienne Blanc, le 1er vice-président de la
région Auvergne-Rhône-Alpes, après sa rencontre avec la
Commission Européenne.
L’enveloppe finale pourrait en effet permettre d’
assumer 50 % du coût total du projet. La France pourrait ainsi économiser 2 milliards d’euros. Auparavant, ce
soutien de l’Union Européenne portait sur le seul tunnel de base.